Les États-Unis ont une nouvelle fois réaffirmé leur reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, consolidant une position de plus en plus affirmée sur la scène diplomatique. Cette confirmation intervient à la suite d’un entretien à Washington entre le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et le Secrétaire d’État américain, Marco Rubio.
Dans une déclaration à l’Agence marocaine de presse (MAP), le congressman républicain Mario Díaz-Balart a salué cette réaffirmation comme un signal fort de “la constance” de la position américaine, initialement exprimée par le président Donald Trump. Il a souligné que cette position confirme le rôle central du Maroc, sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI, dans la promotion de la paix et de la prospérité au niveau régional et international.
Selon le membre influent de la Chambre des représentants, “le seul plan crédible et sérieux” pour parvenir à une solution durable au conflit du Sahara reste l’initiative marocaine d’autonomie. Il a précisé que “le Secrétaire d’État l’a affirmé sans équivoque”, ajoutant que cette position est partagée par le président des États-Unis.
Mario Díaz-Balart a également mis en avant l’importance stratégique du partenariat maroco-américain, en rappelant que les deux parties ont souligné, lors de la rencontre Bourita-Rubio, “l’importance du leadership du président Trump et de SM le Roi Mohammed VI dans la promotion de la paix et de la prospérité régionales”.
Il a insisté sur le rôle déterminant du Royaume dans la cause de la paix au Moyen-Orient, en estimant qu’il est “tout aussi essentiel pour la prospérité des peuples marocain et américain”.
L’élu américain, qui en est à son 12ᵉ mandat à la Chambre des représentants, a salué la nomination du nouvel ambassadeur des États-Unis à Rabat, Richard Duke Buchan III, comme un gage supplémentaire de l’engagement de Washington à renforcer la coopération bilatérale à tous les niveaux.
Enfin, Mario Díaz-Balart a rappelé que le Royaume du Maroc fut le premier pays à reconnaître l’indépendance des États-Unis, établissant la relation diplomatique continue la plus ancienne que Washington entretient dans le monde. Une relation que le congressman décrit comme “stratégique, porteuse de stabilité régionale, de paix et de prospérité”, et qui ne cesse de se renforcer, grâce au “leadership Royal éclairé sur des questions clés”.