Dans un document en date du lundi 1er août 2022, la coordination nationale du FNDC a fait savoir qu’elle a saisi le bureau du procureur général de la Cour Pénale Internationale (CPI), dans sa section persécution et éléments de preuves d’un document intitulé « Signalement de la répression meurtrière des manifestations citoyennes du FDNC avec en annexe la liste des auteurs».
Dans son document de 8 pages, le FNDC accuse 13 officiers de l’armée guinéenne, dont le colonel Mamadi Doumbouya, d’être le cerveau de la répression des manifestants et des violations des droits de l’homme en Guinée.
Pour lui, ces personnes constituent «un danger» pour la conduite de la transition. C’est pourquoi, les frontistes ont jugé utile de répertorier ces hauts gradés de l’armée guinéenne sur une liste, pour disent-ils, «faciliter d’éventuelles poursuites judiciaires à leur rencontre.»
Copie :
FNDC-CPI