Les réactions se multiplient au lendemain de la mutinerie qui a conduit à la démission “forcée” du président malien, Ibrahim Boubacar Keïta.
Après Alhassane Ouattara qui a pris la décision de fermer ses frontières avec le Mali, Macky Sall le président sénégalais condamne ” le coup de force” qu’il considère comme une violation du protocole de la Cedeao.
“Le coup de force contre un Président démocratiquement élu constitue une violation du protocole de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance. Nous l’avons fermement condamné.
Il nous faut agir avec responsabilité et célérité afin d’éviter que le Mali ne sombre dans un vide institutionnel et dans une impasse politique”, a écrit le président sénégalais sur le réseau social Facebook.
Seul le peuple est souverain, et sa volonté est une force légitime.