Le gouvernement guinéen vient de réagir dans un communiqué sur le retrait des agréments et des fréquences des médias privés : Espace, Sweet, Fim et Djoma. Pour les autorités, la mesure ne constitue en aucun cas une entrave à l’exercice de la liberté de la presse en Guinée.
Le gouvernement soutient qu’il “travaille à restaurer l’ordre constitutionnel, et non à établir une démocratie médiatique”, a-t-il précisé.