Membre du bureau exécutif du Rpg Arc-en-ciel (parti au pouvoir), Souleymane Keita a soulevé des manquements liés aux différents rapports qui visent la Guinée, en terme de violation des Droits humains, publiés par des ONG internationales.
Le député a commencé par affirmer son opposition catégorique face aux rapports antécédents qui accablent la Guinée. Réagissant ainsi, il souligne qu’il y a un acharnement de la part de ses institutions à l’encontre du gouvernement guinéen.
«Je rejette systématiquement ces rapports parce-que ce sont des rapports partiaux .Je ne suis pas surpris que l’on nous taxe de cette façon, parce-que c’est devenu une habitude», a-t-il dénoncé, en faisant allusion à Amnesty International et plusieurs autres structures internationales de défense des Droits de l’Homme.
«Ce sont tous des rapports qui s’intermellent. Ils ont les mêmes sources, les mêmes acteurs de la société civile. En 10 ans, il n’y a eu aucun rapport qui met en excelle les avancées faites dans la matière, or, il y’en a eu. Lorsqu’on essaye de peindre tout en noir, alors qu’on voit ce qui ce passe un peu partout dans le monde, mais qu’en il s’agit de la Guinée c’est comme un acharnement à cause peut-être de la position prise par les autorités guinéennes», assure Souleymane Keita.
Néanmoins , le député estime que le silence du gouvernement guinéen sur certaines questions dont celles liées aux Droits de l’Homme joue en faveur de ces institutions.
«J’ai l’impression que le gouvernement n’est pas prompt sur ces questions là, il faut communiquer, donner les informations parce que si vous ne donnez pas les informations, les autres prennent le devant polluent l’atmosphère et la source d’information de l’opinion est exclusivement réservée.»