Autour de la table de consultation, le président du Conseil national des organisations de la civile de Guinée (CNOSCG) a posé des problématiques avant de se prononcer sur un éventuel changement constitutionnel.
Il a été question pour Dr Dansa Kourouma, de montrer la position de la structure-mère des organisations de la société civile en Guinée, le Cnoscg, à propos, le concerné a formulé six questions. Ces problématiques constituent des préoccupations des membres du Cnoscg, selon lui.
En premier lieu, le CNOSCG a voulu savoir en quoi est-ce que ces consultations sont représentatives pour l’opinion nationale? Qu’est-ce qui est reproché à l’ancienne Constitution et qui a porté préjudice au fonctionnement normal de l’État?
En outre, Dr Dansa dit avoir demandé au Chef du gouvernement, au nom de sa structure, les bases juridiques pour parler de nouvelle constitution. Ensuite, leur parler des justifications et l’impact du changement constitutionnel sur les conditions à la fois politiques, sociales et économiques de la Guinée.
Dernière problématique d’après le président du Cnoscg, quelle est la procédure d’élaboration d’une nouvelle constitution quand l’ancienne est en vigueur…?
Il n’a pas édifié la position du Cnoscg à propos de l’acceptation ou non pour un changement de la constitution. L’objectif a juste été de poser des préoccupations des membres du Cnoscg.
«C’est la réponse de ces préoccupations qui nous permettra de prendre une décision sereine. Et on ne peut pas se prononcer sur une Constitution qu’on n’a pas vue», souligne Dr Dansa Kourouma.