Le président de l’UDRG ne semble plus avoir le temps de faire le procès de la gouvernance du régime d’Alpha Condé. Pour lui, le moment est arrivé où il faut une prise de conscience par tout un chacun quant à la construction d’une meilleure nation.
«Oublions un peu Alpha, oublions le président, il fait son temps et occupons nous du présent et du futur, parce-que le futur doit se construire à partir de maintenant et c’est la raison pour laquelle j’en ai assez de ces débats où on tourne toujours depuis 10 ans avec les mêmes problématiques», a suggéré l’opposant Bah Oury.
La Guinée a toujours été marquée par des violences qui ne datent pas d’aujourd’hui, rappelle-t-il. «La culture politique qui a prévalu est une culture de rapport de force dominant, violent physiquement et en tout point de vue, celui qui a le pouvoir se permet de faire tout ce que bon lui semble sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit et cette mentalité a perdurer et façonner des hommes et des femmes qui réfléchissent comme ça.»
Il poursuit que la Guinée doit finir avec les crises politiques qui ont tant perdurer mais avec un nouvel appareil judiciaire fiable.
«On doit en finir dans ce pays avec les questions de crises de personnalités pour des délits d’opinions, des prisonniers politiques… On espérait qu’après 2006 et 2008 avec l’évolution et la dynamique des forces vives, on allait changer de page mais malheureusement on est toujours plein dedans, parce qu’il y a la responsabilité individuelle de certains acteurs politiques, comme il y a aussi une culture qu’il faut qu’on dépasse et de cette culture nous sommes tous dedans. Il faut qu’on tourne la page tout en prenant acte pour que cela serve de leçon pour l’avenir. Raison pour laquelle, la justice ne doit pas être une justice de revanche mais une justice pour protéger l’avenir pour sanctionner certaines dérives», évoque monsieur Bah Oury.
Le président de l’UDRG ne semble plus avoir le temps de faire le procès de la gouvernance du régime en place. Pour lui, le moment est arrivé où il faut une prise de conscience par tout un chacun quant à la construction d’une meilleure nation guinéenne.
«Oublions un peu Alpha, oublions le président, il fait son temps et occupons nous du présent et du futur, parce-que le futur doit se construire à partir de maintenant et c’est la raison pour laquelle j’en ai assez de ces débats où on tourne toujours depuis 10 ans avec les mêmes problématiques», a suggéré l’opposant Bah Oury.
La Guinée a toujours été marquée par des violences qui ne datent pas d’aujourd’hui, rappelle-t-il. «La culture politique qui a prévalu est une culture de rapport de force dominant, violent physiquement et en tout point de vue, celui qui a le pouvoir se permet de faire tout ce que bon lui semble sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit et cette mentalité a perdurer et façonner des hommes et des femmes qui réfléchissent comme ça.»
Il poursuit que la Guinée doit finir avec les crises politiques qui ont tant perdurer mais avec un nouvel appareil judiciaire fiable.
«On doit en finir dans ce pays avec les questions de crises de personnalités pour des délits d’opinions, des prisonniers politiques… On espérait qu’après 2006 et 2008 avec l’évolution et la dynamique des forces vives, on allait changer de page mais malheureusement on est toujours plein dedans, parce qu’il y a la responsabilité individuelle de certains acteurs politiques, comme il y a aussi une culture qu’il faut qu’on dépasse et de cette culture nous sommes tous dedans. Il faut qu’on tourne la page tout en prenant acte pour que cela serve de leçon pour l’avenir. Raison pour laquelle, la justice ne doit pas être une justice de revanche mais une justice pour protéger l’avenir pour sanctionner certaines dérives», évoque monsieur Bah Oury chez nos confrères de fim FM, dans l’émission Mirador, ce mardi 27 juillet.
Mr Bah Oury,le passé est le garant de l’avenir selon le vieux adage.On ne peut effacer l’ardoise politique à zéro.Car,Cautionner un hold-up électoral créé un mauvais PRÉCÉDENT pour la Démocratie et l’état de droit constitutionnel dans ce pays.