Plusieurs mois après le mot d’ordre de grève, les Forces Sociales de Guinée s’impliquent dans le bras de fer qui oppose le gouvernement guinéen au Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée (Slecg). Une crise qui tourne autour des 8.000.000 Gnf que réclament Aboubacar Soumah et ses pairs syndicalistes.
Cette Organisation de la société, appelle les citoyens ( parents d’élèves et élèves) à sortir chacun dans son quartier, pour faire fléchir le gouvernement.
“Nous lançons un appel à toutes les couches socio-professionnelles à faire de la journée du 29 octobre 2018, une preuve que nous sommes unis et solidaires et que nous sommes plus que jamais déterminés individuellement et collectivement à défendre nos droits et plus précisément celui lié à l’éducation” , a déclaré le chargé des Opérations des Forces Sociables, Ibrahima Diallo.
Il faut craindre une journée agitée ce lundi 29 octobre 2018. Car l’opposition qui dénonce à son tour l’installation des élus locaux, appelle à une journée “ville morte.”