



Cité parmi les 25 personnalités visées par les sanctions des eurodéputés pour violations des droits humains en Guinée, le 2e vice-gouverneur de la Banque centrale de la République de Guinée (BCRG) accuse à son tour le FNDC.
Pour Baidy Aribot, le Front national pour la Défense de la Constitution (FNDC) est responsable des violences enregistrées avant, pendant et après la présidentielle du 18 octobre 2020, qui ont fait des morts et de dégâts matériels importants.
À en croire l’ancien Secrétaire exécutif de l’UFR, ce sont les membres du front anti-3 eme mandat qui devaient être sanctionnés par les Eurodéputés pour violations des droits humains en Guinée. «On était là avant les élections. Le FNDC peut oser accuser la mouvance de violations ? On a les captures d’écran, des appels à la violence, des appels à la haine. On a vu des poteaux électriques arrachés dans ce pays. Des gens ont été égorgés», accuse l’ancien député de Kaloum.




