Le lundi 12 mars, le groupe Hadafo Médias et Evasion Guinée ont payé les frais des violences enregistrées à Conakry. L’ONG Amnesty International a réagi à ces violences dont ont été victimes les journalistes.
L’Ong internationale de défense des droits humains, Amnesty international, a réagi par un communiqué de presse rendu public le mardi 13 mars 2018. «Ces attaques contre des groupes de presse visent la liberté de la presse et la liberté d’expression. Le travail que font les journalistes est essentiel surtout dans un climat social et politique actuellement tendu en Guinée », a réagit François Patuel, Chercheur sur l’Afrique de l’Ouest à Amnesty international.
Par ailleurs, l’ONG exhorte les autorités guinéennes à faire la lumière sur cet acte qui constitue comme une atteinte à la liberté de la presse, et la liberté d’expression. « Les autorités doivent ouvrir une enquête impartiale afin que les responsables présumés soient identifiés et traduits devant la justice dans le cadre d’un procès équitable», a déclaré l’activiste des droits de l’Homme.
Cette autre condamnation vient s’ajouter à celles des différentes associations de presse, mais aussi de quelques institutions républicaines dont l’INIDH.