En collaboration avec l’OIM, l’UNESCO et le ministère de la culture et du Patrimoine Historique, la fondation dénommée ” rêve d’Afrique ” qui oeuvre pour la vulgarisation et la médiatisation culturelle de la communauté africaine séjourne pendant 1 semaine à Conakry.
Cette visite s’inscrit dans un projet de tournée africaine en 55 semaines . En Guinée, elle constitue la 8ème étape de la fondation rêve africain qui entend mener ses activités au côté de l’ONG Culture ensemble. Ils comptent tenir une formation avec des acteurs culturels en management artistique et en master class, suivi d’un documentaire pré colonial et la sélection d’un artiste qui sera médiatisé à l’international par ladite fondation.
Leiticia Normand, la formatrice, affirme que les valeures sociales et culturelles que possèdent le peuple africain mérite d’être reconnu à sa juste valeur à l’international et celà ne passe que par la professionnalisation des structures concernées.
“On ne sort pas d’une école de management ou de production, on devient tous producteurs et management qu’on a appris sur le tas, comme le digital reste une arme fatale de nos jour pour nous exprimer et c’est vraiment la clé du succès pour plus faire connaitre l’art de son pays”.
Isto Keïra, Secrétaire général du ministère de la Culture et du Patrimoine Historique, encourage et salue cette initiative et se réjouit de la tenue de la formation en cette période critique de notre pays: “ces jeunes de la structure culture ensemble sont à accompagner et à soutenir car au-delà du caractère festif et business de la culture, cette ONG jeune a compris qu’il faut créer une dimension réflexionelle, un espace d’échange pour renforcer les capacités opérationnelles des différentes structures évoluant dans le secteur culturel. Je vous encourage à persévérer parce que nous homme de culture sommes des rêveurs et quand je vois le nom “rêve africain “celà ne fait que renforcer ma foie en la culture de chez nous”.
En face de la presse mercredi 4 mars, des managers présent à ce lancement n’ont pas manquer de rappeler au ministère ses responsabilités dans la valorisation de la culture guinéenne à l’international.
Adama Hawa Bah