En Guinée, les offres des sociétés de téléphonie ne conviennent pas souvent aux consommateurs. Ces derniers pensent être souvent abusés dans la facturation. L’Etat, à travers l’Autorité de Régulation des Postes et Télécommunications (ARPT), traite très peu, ou pas du tout les plaintes. Et d’ailleurs, ces derniers temps les citoyens se plaignent de la surfacturation des appels téléphoniques.
Invité de la grande édition du journal sur FIM FM, ce mercredi 21 avril, le ministre des Postes, Télécommunications et de l’Économie Numérique rassure qu’aucune augmentation des tarifs des appels téléphoniques n’a été envisagée.
Il n’a jamais été question et il ne sera pas question d’augmentation », a-t-il annoncé. Il n’a jamais été question et il ne sera pas question d’augmentation », a-t-il annoncé.
Ce n’est pas tout, la population se plaint de la qualité du réseau lors des appels et la connexion internet. D’après le ministre des Oumar Said Koulibaly, les consommateurs confondent la qualité de performance et la qualité de service :
« En ce qui concerne le suivi et du cahier de charge des opérateurs en passant par la tarification de l’indicateur de performance, aujourd’hui généralement, on confond la qualité de performance et la qualité de service. En terme d’indicateur service, nous répondons aux normes de performance. Si par exemple, on vous dit que chaque appel, qu’après 120 secondes sans interruption est un appel réussi. Cela repose sur un indicateur technique, un indicateur clé. Maintenant, si vous en fonction de la conversation que vous voulez avoir, en fonction de l’interlocuteur, si vous êtes interrompu après chaque fois, alors là, le réseau est pourri. Alors que ce n’est pas le cas», a-t-il conclu.