Lors du dernier sommet extraordinaire de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le 20 septembre plusieurs sanctions ont été annoncées contre la junte au pouvoir en Guinée. Des sanctions que Washington trouve salutaire, car elle s’inscrive dans la défense de démocratie.
Pour les autorités américaines, le gouvernement de la transition n’ont pas progressé dans l’établissement d’un calendrier de transition et l’organisation d’élections depuis sa prise de pouvoir en septembre 2021.
Les États-Unis disent soutenir les actions de la CEDEAO visant à encourager le gouvernement de transition à faire évoluer rapidement la Guinée vers une démocratie constitutionnelle dirigée par des civils grâce à un processus transparent et consultatif.
À rappeler que malgré les relations tendues entre la junte et ses partenaires, le premier ministre Bernard Goumou a participer au sommet de l’ONU pour réaffirmer l’engagement de son gouvernement à un retour rapide à l’ordre constitutionnel.