Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoy la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoy la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvo la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023r.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023r.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ur.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ur.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023our.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023our.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023a Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023a Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023e la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023e la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023n de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023n de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023on de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023on de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ion de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ion de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023sion de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023sion de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023cision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023écision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération a28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération a28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la d28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la d28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi l28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renv 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW ren 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW re 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW re 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW r 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW r 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a dé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a dé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déc 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déc 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déci 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a rau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a rau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a reau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a reau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyéau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cellau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cellau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celleau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celleau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé lau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Mise en liberté de Kassory et Cie : la Cour suprême rendra sa décision fin février
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Mise en liberté de Kassory et Cie : la Cour suprême rendra sa décision fin février
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoy la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvo la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW arenvoi la délibération au 28 février 2023.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023r.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ur.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ur.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023our.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023n de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023sion de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023cision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023cision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023écision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 décision de la Cour.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023dre la décision de la Cour.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023ndre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023endre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023r rendre la décision de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023our rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023 pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération au28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération a28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération a28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibération28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibératio28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibérati28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la délibér28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW renvoi la dél28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a dé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a dé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déc 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déc 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déci 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déci 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décid 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décid 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décidé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décid 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a décid 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déci 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déci 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déc 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a déc 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a dé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a dé 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a d 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a rau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a reau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cellau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celleau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé celau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé ceau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé ceau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé cau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
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Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
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Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audiencau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
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Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
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Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audienceau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audienceau 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Mise en liberté de Kassory et Cie : la Cour suprême rendra sa décision fin février
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.
Mise en liberté de Kassory et Cie : la Cour suprême rendra sa décision fin février
Après l’audience de ce mardi 31 janvier 2023, pour statuer sur la mise en liberté de Dr Ibrahima Kassory Fofana, Oyé Guilavogui et Louceny Nabé devant la chambre pénale de la Cour Suprême, le délibéré a été renvoyé au 28 février 2023.
Ces anciens ministres, poursuivis pour des faits présumés de détournement des deniers publics, sont inculpés par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF) et placés en détention provisoire à la maison centrale de Coronthie depuis avril 2022.
Devant la chambre de contrôle de l’instruction de Crief, ils ont tous obtenu des ordonnances de mise en liberté conditionnelle, mais le parquet spécial dirigé par Aly Touré s’est pourvu en cassation. Il espère obtenir l’annulation de ces ordonnances et par conséquent, le maintient de Kassory et ses anciens collaborateurs en prison.
Ces dossiers ont connu plusieurs renvois devant la plus haute juridiction du pays. La dernière fois, le juge avait rabattu les dossiers suite au départ de certains magistrats, appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Il a fallu donc une reprise.
Les débats sont clos ce mardi après deux (2) audiences et le juge Mangadouba SOW a renvoyé l’audience au 28 février 2023, pour rendre la décision de la Cour.