En partenariat avec la 4ème promotion du département pharmacie de l’université Kofi Annan de Guinée, le Lion club International a procédé au lancement des activités d’une tournée de campagne pour la sensibilisation contre l’hypertension artérielle, le diabète et le paludisme dans 2 sous préfectures de la Haute-Guinée, ce jeudi dans l’enceinte de l’institution.
Les activités se dérouleront durant 7 jours dans ces zones. A cet effet, 41 jeunes pharmaciens et quelques jeunes Leos médecins de Guinée effectueront des dépistages gratuits et des sensibilisations contre les maladies citées ci-haut dans les localités de Babila et Baro, dans la préfecture de Kouroussa et Bambala dans la préfecture de Siguiri. Ils saisiront l’occasion pour offrir des médicaments dans les structures sanitaires de ces trois localités ciblés.
Selon le président de la Région 16, cette campagne est inscrite dans les activités médicales prévues pour le mois de novembre du Lion club.
«A travers la Zone 161, notre partition dans ce projet est l’apport des kits sanitaires notamment des médicaments. Nous participons à la préparation des officiels sur le terrain pour mieux accueillir ces étudiants afin de mener à bien le projet. Le mois de novembre est consacré à la lutte contre le diabète mais aussi l’hypertension artérielle et le paludisme, ces localités sont le plus souvent oubliées par ce genre d’initiative. Alors nous avons voulus y aller pour être plus proche des communautés à la base.», a dit Ibrahim Baldé.
Alpha Mamadou Bailo Diallo, le président de la promotion choisie pour cet exerce conjoint s’est dit prêt à accomplir cette mission.
«Notre mission sera de dépister les communautés sur ces 3 pathologies, nous comptons touchés 1.500 personnes à travers cette campagne et nous sommes plus que déterminé. Nous avons déjà effectué, prouvé nos preuves dans le pays à travers d’autres initiatives scientifiques et culturelles. Ces étudiants sont motivés à 100%, vu les moyens mises à notre disposition, nous sommes plus que déterminés en tant qu’agents de santé à aller vers cette population qui n’est pas forcément en contact avec le système sanitaire alors que selon les statistiques, elle serait l’une des plus touchées par ces maladies.», rassure-t-il.