Le ministre conseiller personnel du Président de la République était en face des jeunes dans la salle de conférence du stade Général Lansana Conté de Nongo ce lundi pour une rencontre-débats, portant sur le livre entretien du président Alpha Condé “Une certaine idée de l’Afrique”, organisée par l’Harmattant Guinée.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une série de tournées pour faire la promotion du livre d’Alpha Condé, afin qu’il soit connu par le plus grand nombre de Guinéens. La rencontre de ce jour (lundi 5 octobre) a été une occasion en vue de partager les valeurs véhiculées dans ce livre avec les générations montantes, affirme Tibou Kamara: “Je pense qu’il est extrêmement important que la jeunesse de notre pays connaisse l’histoire des acteurs politiques. D’ailleurs dans les différentes rencontres que nous avons eue, la jeunesse a montré qu’elle était intéressée par la vie et l’histoire personnelle du président Alpha Condé et beaucoup mieux qu’elle a l’intention de s’en inspirer pour se construire également, et se démarquer du débat actuel qui ne porte pas sur des idées, des opinions et des valeurs.”
Dans son exposé, le ministre de l’Industrie et des PME a démontré l’engagement du Chef de l’État, traduit dans ce document, qu’il considère comme un modèle. Par ailleurs, il a aussi jeté le défi aux adversaires politiques du président qui ont pour force, “des critiques”, à en croire Tibou: “Beaucoup n’écrivent pas, ils préfèrent vous faire des confidences, pour dire voilà ce que j’ai apporté au pays (…). Mais si on est sûr de sa vie comme le président Alpha Condé, qu’on est transparent dans de son parcours, il faut témoigner et témoigner en écrivant un ouvrage comme il a eu à le faire. Parce que quand vous écrivez, si vous dites ce qui n’est pas vrai, les gens vont vous démentir. Si c’est dans les confidences, vous construisez une fausse opinion, vous donnez une fausse image de vous , ça ce n’est pas grave, c’est courant, mais vous continuer à déformer l’histoire du pays. Et ça, c’est plus grave. Il ne faut pas falsifier l’histoire d’un pays, en dénaturant les événements, mais plus grave, en s’inventant des rôles qu’on n’a pas eu à le faire, ou en accusant ce qu’on estime pourrait être une menace ou constitue un obstacle sur notre chemin.”